Multaj en la mondo subskribis la peticion ! Kaj Vi ?

Ambaŭ francaj entreprenoj favoras Esperanton, kaj subtenas tiun internacian peticion.
Ces deux entreprises françaises sont favorables à l'espéranto et soutiennent la pétition internationale.

FAQ 23


Quid du financement participatif (par le lancement d'un appel à dons sur Internet)?

 

Pourquoi pas en effet? 

Pour notre part, il nous semble que cela ne pourrait entrer en ligne de compte que dans un second, voire un troisième temps, et en aucun cas maintenant. Autrement dit, quand le projet serait déjà lancé et effectif: quand les premiers salariés seraient déjà recrutés. Mais pas avant.

Pourquoi?

La priorité ici, nous l'avons dit, c'est de réunir des fonds à partir de deux, trois ou quatre personnes qui n'attendent rien des autres, mais qui ont décidé de mettre leur idée, leur énergie, leur compétence ET leur argent en commun dans un projet qu'elles vont mettre sur pied ensemble. Lequel projet est  destiné non seulement à professionnaliser des jeunes, mais aussi à gagner de l'argent dans le cadre d'une société commerciale.

Rien que cela, c'est révolutionnaire au sein de l'histoire du mouvement espérantiste français.

Dit autrement, et de manière plus directe: lancer dès le départ une telle action de financement participatif sur Internet, c'est-à-dire attendre que d'autres veuillent bien croire en ce projet (qui n'existe pas encore, par conséquent), et ensuite attendre qu'ils veuillent bien donner un peu de leur argent, c'est repartir dans la voie purement associative, et aussi espérantiste.

Laquelle attitude, dont avons indiqué les limites, consisterait, encore une fois, à toujours attendre des autres qu'ils fassent les choses à notre place. Agir ainsi, ce serait à coup sûr torpiller les chances que pourrait avoir un tel projet. Autrement dit, au mieux ce serait une perte de temps. Ce serait dire en gros ceci:« On voudrait bien faire cela, mais on n'a pas les moyens financiers pour le faire. Alors faites-nous confiance. ».

Ce serait une perte de temps, car en cas d'échec pour réunir les fonds nécessaires au moyen du financement participatif, non seulement il faudrait rembourser les éventuels donateurs, mais surtout repartir de zéro.

La logique de l'avant-projet que nous proposons ici est totalement inverse: on sait ce qu'on veut faire, on y croit, on n'attend rien des autres, on y met les moyens, et on y va.

Ajoutons, pour finir, que ce projet doit s'inscrire dès le début dans une logique entrepreneuriale et en aucun cas dans une logique associative.

 

 


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