Pourquoi la France ?
D'une part pour les raisons exposées dans la FAQ N° 3. Ensuite, parce que notre pays est encore assez fort, numériquement parlant, pour pouvoir s'engager dans une telle affaire.
En gros, le nombre d’espérantistes en France est de 2500 personnes — si on inclut celles et ceux qui participent à des activités diverses (stages, cours, congrès,) et aussi celles et ceux qui ne participent à rien, mais qui sont connus. Du reste, si on compare la France avec d’autres pays d'Europe, Allemagne, Italie ou Royaume-Uni, lesquels ont une population comparable à la nôtre, on voit que le mouvement y est numériquement plus faible que chez nous.
Notre pays est encore fort, et aussi un pays riche. Sauf à désespérer, on ne peut pas envisager que sur les 2500 espérantistes que compte en gros la France il ne puisse pas s'y trouver — parmi ceux qui sont réellement des espérantistes militants, soucieux de l'avenir de la langue et qui, eux, ne sont qu'une partie du monde espérantophone français — des gens réellement capables de passer à l'acte: de placer quelques économies dans un projet, celui que nous leur proposons, lequel ne peut pas rater — nous osons l'affirmer, et ce en toute connaissance de cause. (voir FAQ N° 10)
Et nous ne le dirons jamais assez: pour lancer un tel projet, pour le concevoir, même deux personnes suffiraient. En somme, deux associés. Au moins deux associés.
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